Au milieu des spectateurs, un type débarque en vélo. Il pianote sur un digicode qui s’affole.
Bringuebalé, ferré comme un pantin désarticulé, il suit à la lettre et de tout son corps les trames, les assauts, les situations absurdes que seul dicte le son. Un monde sonore absurde, satirique, onirique se crée devant nous.

Création sonore : Christophe Arnulf, Anthony Dascola, Aymeric Descharrières, Alexandre Flahaut et Philippe Nicolle
Sur une idée de : Christophe Arnulf
Mise en scène : Philippe Nicolle
Interprétation : Christophe Arnulf
Sonorisation : Aymeric Descharrières ou Erwan Laurent et Alexandre Flahaut
Coordination cie : Lise Le Joncour
Administration : Marion Godey assistée de Catherine Euvrard
Production Diffusion : Claire Lacroix

Production

Production : 26000 couverts. Coproduction : le Fourneau, Centre National des Arts de la Rue en Bretagne (29), Mairie de Vasles (79), la Vache qui rue Moirans-en-Montagne (39), Ax Animation (09), Coopérative De Rue de Cirque à Paris. Avec le soutien de l’Artdam (21) et de la Vapeur à Dijon.

Presse

« Le ballet d’effets sonores est tellement efficace que tous les bruits font image, d’autant que le comédien excelle la traduction physique de ces sons. Avec son style à la Tati, ce spectacle drôle raconte aussi le vertige de la technologie. Grand succès.  » Le Temps de Genève 2018

« Humour, mélancolie et situations cocasses se sont enchaînés pour le plus grand bonheur des spectateurs » La Provence 2017